A défaut de naviguer, on se promène sur la terre ferme... Et après la côte nord et le quartier indien, c'est bien la ville de Port of Spain qui vaut la peine d'être découverte.
On n'imagine pas, arrivés "au bout du monde", que les grattte-ciel ont poussé comme des champignons, pétrole oblige. Trinidad fait une concurence sérieuse dans ce domaine à son puissant voisin vénézuélien.
Voici donc les "twin towers" locales (qui commencent à vieillir), la Nicholas Tower (dont je ne me lasse pas), les nouvelles tours du Hyatt et du Sofitel sur le front de mer, sans oublier, pour la couleur locale, l'église typique de l'"occupation" britannique et les superbes maisons de l'époque victorienne (trop peu nombreuses ou laissées à l'abandon - une adresse à retenir au cas où le vent vous porterait jusque là, www.trinidadgingerbreadhouse.com).
Il paraît qu'on pourrait partir enfin en milieu de semaine prochaine, qui sait?
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