Et, de retour dans le centre, le palais royal, cette grande bâtisse classique et austère, se reflète, elle aussi dans les eaux.
Même le musée des arts et traditions populaires a des allures néo-gothiques que seul l'amarrage de quelques bateaux à ses pieds peut sauver!
Et je pourrais continuer pendant des pages : les châteaus sont si nombreux que, s'ils n'étaient pas dans ce décor magique de canaux et de bras de mer, on en aurait vite assez... Mais hélas il va falloir songer au retour.
Vue du ciel, on comprend mieux la configuration des lieux : des îles, encore des îles. Ah! s'il n'y faisait pas si froid dès les premières semaines de septembre, on resterait, on naviguerait d'île en île sur la Baltique. Mais même si la Caraïbe n'est plus une découverte, elle reste notre plan d'eau de prédilection, climat tropical oblige.
Bye Bye Sweden!
Toute référence au roman de Françoise Sagan "Les merveilleux nuages" n'est que pure coïncidence.
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