Le bateau, la Perle Express, est un catamaran en alu de 47 mètres de long...
... et ses 2 hydrojets propulsent les 350 passagers potentiels (nous n'étions qu'un centaine) à près de 30 noeuds (60 km/h). Impressionnant... et confortable.
Une courte escale en Dominique permet de retrouver la silhouette de ces pentes volcaniques au pied desquels la capitale, Roseau, s'étale paresseusement.
Les barques des pêcheurs sont tirées à sec le long de la rue principale. Nous passons rarement si près de la côte et faisons non moins rarement escale à Roseau, mais nous nous y sommes déjà promenés et l'endroit est sympathique, loin de l'activité touristique et commerciale d'autres îles plus riches. Pas question de descendre cette fois, mais un petit bonjour en passant.
Le canal de la Dominique qui la sépare de la Martinique se passera en moins d'une heure en dépit d'une mer "légèrement agitée" (probablement des creux de 1,50m) et voici déjà Fort de France.
Je découvre l'autre face du fort au pied duquel nous mouillons habituellement. Il est 12 h 30, les boutiques et restaurants que j'aime bien m'attendent. Je rentrerai demain par le même chemin, une parenthèse dans notre cabotage à la voile.
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