Les estuaires de petites rivières servent de refuge aux pêcheurs locaux.
Les plages sont immaculées mais les vagues y déferlent. Heureusement, c'est trop loin pour les surfeurs, trop agité pour y mouiller et personne n'a songé à y installer le moindre parasol!
Si on remonte ne serait-ce que de quelques mètres la rivière, on se trouve vite dans un paysage de forêt tropicale...
Les habitants par endroit ramassent le bois mort et les branches rejetées par la mer pour que les tortues puissent trouver, après leur longue course, un lieu de ponte favorable.
Quel dommage qu'il faille quitter l'île avant la saison de la ponte, mais il faudrait attendre au moins 5 mois... Peut-être en croiserons-nous sur d'autres îles, plus tard?
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