Mais les paysages sont si beaux : des lacs aux couleurs changeantes (bleus ou verts) selon l'humeur du ciel et les herbes qui en tapissent les fonds;
Mais l'île n'est pas si grande qu'on soit jamais loin de la mer et les côtes sont rocheuses, très découpées, sauvages et battues par la longue houle de l'Atlantique dont les navigateurs m'ont beaucoup parlée.
Par moment, on se croirait en Bretagne... Toute côte de l'Océan Atlantique a cette forte personnalité qui fascine.
Nous choisissons un petit village aux maisons blanches se découpant sur la mer bleue et les roches noires pour goûter à la cuisine locale : du poisson, bien sûr, mais aussi du veau (cela faisait si longtemps qu'on n'en avait pas mangé) ou du boeuf. Les sauces sont épicées, mais pas trop, les légumes et salades viennent presque "du jardin" quant aux fruits, il s'agit d'ananas et de bananes cultivés sur l'île. S'il ne fait pas très chaud, il ne fait jamais très froid!
J'oubliais Pedro Miguel Pauleta, rayon célébrités des Açores. Il y a un géographe en sommeil chez tout amateur de sport, croyez le ou non.
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